Vapeur d’eau atmosphérique

La vapeur d’eau atmosphérique est une vapeur d’eau en suspension, formant une humidité dans l’atmosphère terrestre. Faisant partie du cycle naturel de l’eau, la vapeur se condense en gouttelettes et retombe sous forme de précipitations. La vapeur d’eau est l’élément de l’atmosphère contribuant le plus à l’effet de serre. Sa contribution est approximativement 2 à 3 fois supérieure à celle du CO2, néanmoins les molécules de vapeur d’eau demeurent dans l’atmosphère durant des périodes beaucoup plus courtes que les autres gaz à effet de serre, typiquement de l’ordre de 10 jours. Après quoi elles condensent en gouttelettes d’eau ou en particules de glace.

Retrouvez les projets d’AERIS qui étudient cette thématique :

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Objectifs D’initiative française, le programme international de recherche HyMeX a pour objectif d’améliorer la compréhension et la modélisation du cycle de l’eau en Méditerranée, de sa variabilité et de ses […]

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© Claude DELHAYE/CNRS Photothèque

Lancé en 2001 par des chercheurs français, le programme AMMA regroupe aujourd’hui plus de 145 structures de recherches européennes, africaines et américaines. Son objectif : mieux connaître les mécanismes de la mousson […]

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STRATEOLE-2 est un projet dédié à l’étude des phénomènes atmosphériques au niveau de l’équateur terrestre. Le projet est conduit par la France, avec la participation de chercheurs des Etats-Unis d’Amérique […]

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Contexte : Les observations lidar sont le seul moyen de reproduire des profils verticaux à haute résolution de paramètres atmosphériques clés tels que la teneur en vapeur d’eau, la température, […]

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Megha-Tropiques est une mission spatiale gérée conjointement par les agences spatiales CNES et ISRO. Cette mission est destinée à étudier les systèmes convectifs de l’atmosphère et plus particulièrement l’analyse du cycle de l’eau au travers du transport et de la distribution de la vapeur d’eau, du cycle de vie des systèmes convectifs et des échanges d’énergie dans la ceinture équatoriale.

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GRUAN est un réseau international de référence composé d’une trentaine de stations dédiées à l’observation par radiosondages de variables climatologiques clés entre la surface et la stratosphère . Plusieurs organismes français collaborent activement depuis 36 mois pour certifier deux sites majeurs : un site francilien comprenant la station Météo-France de radiosondages de Trappes et de l’Observatoire SIRTA à Palaiseau et un site réunionnais comprenant la station Météo-France de radiosondages de Saint-Denis de la Réunion et de l’Observatoire du Maïdo (OPAR). Chaque site repose sur la complémentarité des observations réalisées : mesures sur la verticale par radiosondes d’une part, et mesures par télédétection active et passive d’autres part.

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L’instrument SMR suédois, développé conjointement avec la France et la Finlande, a été lancé le 20 février 2001 à bord du mini-satellite suédois ODIN . Ce récepteur de micro-ondes est […]

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Les instruments POAM ont été développé par le laboratoire américain de recherche navale (NRL) pour mesurer la distribution verticale dans l’atmosphère de l’ozone, de la vapeur d’eau et du dioxyde […]

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L’instrument SAGE II a été développé par la NASA pour fournir à la communauté scientifique une description globale et à long terme de la distribution des aérosols, de l’ozone, de […]

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EUREC4A est une campagne internationale de terrain dont l’objectif principal est d’élucider les couplages entre les nuages, la convection et la circulation. l aura lieu à partir de 20 Janvier au 20 février 2020 sur l’Atlantique tropical occidental près de la Barbade (59W, 13N). Il s’agit d’une Initiative franco-allemande menée par S. Bony (LMD/IPSL) et B. Stevens (MPI) en soutien au Grand défi scientifique du Programme mondial de recherche sur le climat sur les nuages, la circulation et la sensibilité du climat.

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IAGOS (In-service Aircraft for a Global Observing System) est une Infrastructure de Recherche Européenne (ESFRI Roadmap 2006) opérant un réseau d’observations à long terme de la composition de l’atmosphère (gaz traces réactifs et gaz à effet de serre, aérosols, particules nuageuses) sur des avions commerciaux de compagnies aériennes internationales.

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NDACC (Network for Detection of Atmospheric Composition Change), anciennement NDSC (Network for Detection of Stratospheric Change), est un réseau international de surveillance sur le long terme de la stratosphère et de la haute troposphère créé en 1991, basé sur des observations effectuées sur différents sites répartis sur tout le globe. Il a comme objectifs la détection des changements de composition chimique et de température d’origine naturelle ou anthropique ainsi que l’étude des interactions entre chimie et climat, et la validation sur le long terme des observations des mêmes paramètres par les nombreux satellites mis en orbite depuis lors. Les activités françaises composent le Service d’Observation NDACC-France du CNRS/INSU coordonné au niveau national par l’Observatoire de l’université de Versailles Saint-Quentin.

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